À Pékin, l’ambassade du Maroc en Chine, la médiathèque de l’Institut français et le Lycée français international de Pékin proposent une lecture des extraits du son livre Le premier amour est toujours le dernier par des élèves du Lycée français international de Pékin en présence de l’auteur, suivi d’un thé marocain.
« Ce livre raconte le déséquilibre et les malentendus entre l'homme et la femme arabes. Les histoires qu'on y trouve ne parlent que d'amour, c'est-à-dire de solitude, de secret, et d'incompréhension. Et puis ce besoin d'amour devient vite une recherche de soi, car pour aimer l'autre, pour donner, il faut s'aimer un peu soi-même. Ce n'est pas si simple, dans un pays où la tradition et la religion aident surtout l'homme à asseoir sa petite puissance, alors même que rien ne peut s'y faire sans la femme. » C’est ainsi que Tahar Ben Jelloun, écrivain et poète marocain, parle de ce recueil de nouvelles publié il y a vingt ans exactement et traduit depuis en de nombreuses langues.
Étudiés et travaillés par les élèves d’Aurore Charles au Lycée français international de Pékin, des extraits du livre seront lus en présence de l’auteur, invité à Pékin par l’ambassade de France en Chine. L’auteur échangera ensuite avec les élèves et le public. À la suite de cette lecture, un thé marocain sera offert par l’ambassade du Maroc à Pékin.
Date de publication: 14 mars 2015